Présence d’une interprète LSF dans une classe
Un enseignant de 4e année est manifestement très perturbé par la présence d’un interprète en langue des signes flamande (LSF) dans sa classe. La direction de l’école décide donc de diminuer le nombre d’heures de LSF pour le deuxième semestre.
Les parents de l’enfant sourd concerné ont demandé au Centre d’intervenir.
La législation anti-discrimination et la jurisprudence flamande sont claires sur les droits des enfants sourds dans l’enseignement flamand : le fait de prévoir qu’un enfant sourd obtienne durant ses années d’études une assistance LSF pour au moins 70 % des heures de cours et le remboursement des frais d’interprète constitue un aménagement raisonnable.