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Pas de discriminations quand on ne peut porter un masque pour des raisons médicales
Un interprète en langue des signes belge francophone, même en prison !
Les coûts de traduction en langue des signes pris en charge par un commissariat et un tribunal
Un couple homosexuel est victime de harcèlement et la police ne réagit pas de façon appropriée
Un couple homosexuel est victime de harcèlement et est agressé par quelques personnes du voisinage. Des insultes homophobes sont proférées, ce qui, pour rappel, peut être considéré comme délit de haine. Lorsque la situation menace de dégénérer, la police est appelée sur place.
Language des signes chez la police
Une personne sourde convoquée par la police de Bruxelles pour une audition avait dû payer elle-même les frais d’interprète en langue des signes. Par la suite, le commissaire de police a fait rembourser les frais. Toute personne convoquée pour une audition doit en effet obtenir la possibilité de s’exprimer dans sa langue aux frais du service public (le service de police ou bien le Parquet, comme frais de justice). Les services de police disposent à cette fin d’une liste d’interprètes assermentés (y compris pour la langue des signes).
Difficulté à porter plainte auprès de la police
Une victime de harcèlement vraisemblablement homophobe avait éprouvé des difficultés à déposer sa plainte auprès de la police de sa zone. Le policer minimisait l'affaire ou tenait des propos indélicats. Le Centre a interpellé le Chef de Corps ainsi que le Procureur du Roi en s'appuyant sur la circulaire COL 14/2006 visant à lutter contre les actes homophobes. Le policier a été invité à participer à une médiation.